mardi 19 août 2008

Psychologie polaire: Le fléau de la solitude





Pelotés, tripotés, humiliés, de plus en plus de chiens de traîneau tirent la sonnette d'alarme.
Pour eux, le cercle polaire n'est plus sûr. Car dans l'immensité glacée, l'ours blanc se sent seul, très seul. Et une fois pris de boisson, il est prêt à tous les compromis pour un peu de réconfort, un peu de tendresse, ou un "coïtus arcticus".




Seulement voilà, un chien de traîneau, ça a sa fierté, et les tentatives de suicide ne sont plus rares dans le milieu canin.
Relations sans lendemains, destins croisés, c'est bien souvent le coeur brisé et le bassin déplacé que le brave husky reprend la route au lever du soleil... 
L'ours blanc, lui, se sera éloigné en tapinois, avant les premiers rayons du soleil, et oubliera bien vite les mots doux sussurés à l'oreille de son partenaire d'une nuit. Et déjà, ses narines frétillent et il se dit que pour le petit-déjeuner, il se taperait bien un phoque.

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